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Ecole & Equipe
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Information Générale
De nos jours
De nos jours, de nombreuses personnes veulent la preuve d’avoir franchi une étape, une épreuve et obtenir un diplôme. Fût un temps où dans les arts martiaux, c’etait le Maître qui, en gage de gratitude pour le travail d’un étudiant et la reconnaissance de ce travail, offrait à l’étudiant soit son arme personnelle, soit l’emblème de son école, soit un parchemin certifiant ses comptences.
Autrefois
Lorsque Michèle ROLDES à rencontré Maître Kaï Ying TUNG, il lui a fait part de son étonnement sur le fonctionnement européen concernant les diplômes ou les grades scolaires auxquels nous nous attachons. Il lui a offert à chaque évolution dans sa pratique, l’arme correspondante signée de sa main, un sabre, une épée, des bâtons, … en riant et la remerciant pour son travail. Ce geste signifie que l’élève a passé un stade, qu’il doit maintenant enseigner cette discipline. Nul n’était besoin de papier, à ses yeux. D’ailleurs Maître Hu Lin TUNG, avant lui, faisait de même avec ses étudiants et avait offert à Michèle ROLDES l’emblême de son école en gage de reconnaissance de sa maîtrise de l’Art.
La progression
Pour lui, comme pour d’autres Maîtres d’ailleurs, le fait de “ passer ” de l’étude d’une discipline à une autre était une évolution, une vraie progression qui valait d’ailleurs plus que tous les grades ou autre preuve de passage d’un niveau à un, que nous pouvons connaitre dans certain sport. M. Roldes a reçu un enseignement traditionnel, en conséquence, elle connait bien cette hiérarchie dans la progression des disciplines du tai chi chuan : lent, tuishu, rapide, sabre I, family set, epée,.. et l’enseigne dans le respect de cette tradition.
L’évolution
C’est en 1978 Master Kai Ying TUNG a décidé, pour correspondre aux critères attendus des occidentaux, de créer un diplôme de son académie. Il a décerné le tout premier à Michèle ROLDES, c’était un honneur, un gage fort de reconnaissance. Quoi qu’il soit, il semble qu’elle soit nettement plus fière des armes et emblèmes d’école que les Maîtres lui ont offert lorsqu’elle passait de l’étude d’une discipline à une autre.
Peut-être, demain
A l’intar des judokas,
qui n’avaient pas plus de deux ceintures : blanche et noire, voir parfois une troisieme, marron, ont vu grandir avec le besoin de compétition, le besoin de se comparer, de se jauger au premier coup d’oeil, un besoin de classification des pratiquants et se sont vus instaurer un nouveau système de ceintures trés colorées ; blanche, jaune, orange, verte, bleue, marron, noire, puis des Dans.
Verrons nous appraître ce système de grades, degrés, dans, ceintures et autres qui est apparu récemment dans un bon nombre de sports ?
Et pourtant … Certaines instances pensent réellement mettre en place ce système financier.
Peu importe ce qu’il en sera, nous gardons à l’esprit que la course aux grades n’est pas un gage réel de compétence ou marque de progression et ne le sera jamais.En particulier parce que sont faits pour attester qu’un jour J, on a su correspondre à des critères scolaires, qu’on a eu assez d’argent pour le demander ou le passer, ou seulement que l’on n’a pas perdu votre dossier ou oublié de vous l’envoyé, une fois attribué.
Compte tenu qu’un grade peut être obtenu pour service rendu et non une compétence réelle acquise au fil des mois, des années, en étudiant un Art, par la pratiquant et l’entrainement régulier. Ils n’ont finalement que peu de valeur et sont à l’opposé de l’esprit traditionnel de notre Art.
Le plus important est la pratique régulière, l’investissement personnel, la capacité à enseigner et pour cela aucune décoration n’existe, seulement …
De nos jours
Si ce n’est le professeur, le Maître, qui valide que l’enseignement est acquis. C’est le résultat d’une formation continue avec une évaluation régulière, pas d’un examen d’un jour. Le Tai Chi Chuan Traditionnel nous fourni cette avancement étape par étape, marche par marche, dan par dan, degré par degré, discipline par discipline, trés simplement.
En suivant le menu des disciplines indiquée sur le Menu de l’Onglet concernant Le Tai Chi Chuan, vous pourrez suivre la hiérarchie traditionnelle d’apprentissage de nos techniques, nos disciplines.
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Assistants, animateurs, professeurs
De nos jours, de nombreuses personnes veulent la preuve d’avoir franchi une étape, une épreuve et obtenir un diplôme. Fût un temps où dans les arts martiaux, c’était le Maître qui, en gage de gratitude pour le travail d’un étudiant et la reconnaissance de ce travail, offrait à l’étudiant soit son arme personnelle, soit l’emblème de son école, soit un parchemin certifiant ses compétences.
Autrefois
Lorsque Michèle ROLDES à rencontré Maître Kaï Ying TUNG, il lui a fait part de son étonnement sur le fonctionnement européen concernant les diplômes ou les grades scolaires auxquels nous nous attachons.
Il lui a offert à chaque évolution dans sa pratique, l’arme correspondante signée de sa main, un sabre, une épée, des bâtons, … en riant et la remerciant pour son travail. Ce geste signifie que l’élève a passé un stade, qu’il doit maintenant enseigner cette discipline. Nul n’était besoin de papier, à ses yeux.
D’ailleurs Maître Hu Lin TUNG, avant lui, faisait de même avec ses étudiants et avait offert à Michèle ROLDES l’emblême de son école en gage de reconnaissance de sa maîtrise de l’Art.
La progression
Pour lui, comme pour d’autres Maîtres d’ailleurs, le fait de “ passer ” de l’étude d’une discipline à une autre était une évolution, une vraie progression qui valait d’ailleurs plus que tous les grades ou autre preuve de passage d’un niveau à un, que nous pouvons connaitre dans certains sports.
M. Roldes a reçu un enseignement traditionnel, en conséquence, elle connait bien cette hiérarchie dans la progression des disciplines du tai chi chuan : lent, tuishu, rapide, sabre I, family set, epée,.. et l’enseigne dans le respect de cette tradition.
L’évolution
C’est en 1978 Master Kai Ying TUNG a décidé, pour correspondre aux critères attendus des occidentaux, de créer un diplôme de son académie. Il a décerné le tout premier à Michèle ROLDES, c’était un honneur, un gage fort de reconnaissance. Quoi qu’il soit, il semble qu’elle soit nettement plus fière des armes et emblèmes d’école que les Maîtres lui ont offert lorsqu’elle passait de l’étude d’une discipline à une autre.
Formation en continu
Si ce n’est le professeur, le Maître, qui valide que l’enseignement est acquis. C’est le résultat d’une formation continue avec une évaluation régulière, pas d’un examen d’un jour. Le Tai Chi Chuan Traditionnel nous fourni cette avancement étape par étape, marche par marche, dan par dan, degré par degré, discipline par discipline, très simplement.
En suivant le menu des disciplines indiquée sur le Menu de l’Onglet concernant Le Tai Chi Chuan, vous pourrez suivre la hiérarchie traditionnelle d’apprentissage de nos techniques, nos disciplines.
Peut-être, demain (Dans & co)
A l’instar des judokas, qui n’avaient autrefois, lorsque leur art était traditionnel, pas plus de deux, parfois trois ceintures, se sont vu imposer un nouveau système de ceintures colorées ; blanche, jaune, orange, verte, bleue, marron, noire, puis des échelons sous forme de Dans. Ce système a changé petit à petit les valeurs traditionnelles et orienté les pratiquants vers la valeur compétitive de leur discipline. Nous avons vu grandir avec le besoin de compétition, le besoin de se comparer, de se jauger au premier coup d’œil, un besoin de classification des pratiquants.
Nous nous interrogions si nous nous ferions imposer ce système de grades, degrés, dans, ceintures qui est apparu récemment dans un bon nombre de sports ? Nous pensions que notre fédération de l’époque n’accepterait pas afin de préserver les aspects traditionnels de nos disciplines. Nous nous sommes trompés, malheureusement.
Compte tenu qu’un grade peut être obtenu pour service rendu et pas forcément pour une compétence réelle acquise au fil des mois, des années, par l’étude, la pratique et l’entrainement régulier. De ce fait, ils n’ont finalement pour nous que peu de valeur et sont à l’opposé de l’esprit traditionnel de notre Art, à l’esprit et les traditions que aimons à partager et à diffuser.
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Compte tenu qu’un grade peut être obtenu pour service rendu et non une compétence réelle acquise au fil des mois, des années, en étudiant un Art, par la pratiquant et l’entrainement régulier. Ils n’ont finalement que peu de valeur et sont à l’opposé de l’esprit traditionnel de notre Art.
Le plus important est la pratique régulière, l’investissement personnel, la capacité à enseigner et pour cela aucune décoration n’existe, seulement …
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